Manager les hommes : les nouvelles technologies de l’information et l’accès aux savoirs ont modifié profondément le statut et la posture du manager. Plus que son expertise, on attend de lui sa capacité à diriger les équipes, à fédérer les hommes autour d’un projet ou d’une vision, à les faire grandir, à conduire le changement, à faire face aux problèmes et à l’environnement parfois complexe, où il devra répondre à des paradoxes sans perdre le cap de la stratégie de l’entreprise. L’objectif de ce bloc de compétences est d’apporter des outils et des méthodes qui lui permettront de mener à bien sa mission, de comprendre les mécanismes qui se jouent dans le rapport à l’équipe, à sa hiérarchie, à l’organisation … et pour prendre de bonnes pratiques visant à l’efficacité managérial et au Manager durable.
Maitrise de l’Anglais : la maîtrise de l’anglais en « supply Chain » est incontournable, en raison de la transversalité des activités des périmètres de responsabilités [souvent internationaux] mais aussi par la diversité et les interactions entre une multitude de parties prenantes (fournisseur, client, service achat, R&D, Finances, SAV, données techniques, SI….). Un Supply Chain Manager doit pouvoir suivre une conversation dans un cadre professionnel mais aussi de se familiariser avec le vocabulaire industriel et technique. Le résultat attendu est l’obtention d’un score d’au moins 700 points au test d’évaluation du TOEIC ou d’un score B2 au test d’évaluation du Bulats.